Asasas

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On appelle Asasa d'anciens Surdoués abîmés (abrutis) dans leur enfance par le stress d'adaptation aux Non-Surdoués. Les Asasas représentent l'immense majorité des Surdoués potentiels.

Ils sont devenu des Asasas parce qu'ils ont coupé l'accès aux circuits corticaux (i.e. aux circuits de leur cerveau) qui leur assurait le surdon. Car l'usage de ces circuits leur procurait en retour essentiellement du distress, du stress négatif.

Historique

Ces populations n'avaient pas de nom jusqu'à récemment; suite à un concours lancé sur une liste amie, me furent proposés les nots suivants:

• Goaould, pour la raison décrite ci-dessous;
• ASAPS, l'acronyme d'Anciens-Surdoués-Abrutis-Par-le-Stress;
• ASASA, l'acronyme d'Anciens-Surdoués-Abîmés-par-le-Stress d'Adaptation;
• Jabial, est un mot pris au hasard sur wikipédia (http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Jabial)

Parmi toutes ses définitions, l'usage s'est peu-à-peu établi d'utiliser le mot Asasa pour désinger ces populations.

Goaould

On les appelles également quelquefois les Goaoulds, parce qu'ils claquent ainsi systématiquement la porte (ou le portable) au nez des Surdoués…

… parce que le talent de l'esprit peut les gêner réellement;

… dans le but de les münchhauseniser, c.-à-d. de parasiter (i.e. d’imprégner de force) les cerveaux de leur victime avec leur empreinte mèmique dans le but de se pérenniser, à la façon de Goaouls de l’esprit;

… de les désigner comme gibier à leur instinct-de-prédation, afin de voir ledit instinct entrouvrir la boîte à endorphines, (dont cet instinct à la clef et qu’il entrouvre pour récompenser le soma après chaque partie-de-chasse réelle ou stimulée).

Témoignage

Certains Asasas peuvent être des gens socialement très-biens; d'autres sont de vrais malheurs...

Je me rappelle une fois lorque j'étais en Angleterre; j'avais assisité à une réunion de fin d'année d'un Club mystérieux, que je ne nommerai pas ici. Un club plein d'Asasas. Le papy fondateur de ce Club l'avait alors quitté pendant plusieurs sannées, puis il était revenu. Ce soir-là, il assistait à la réunion.

Et ben cette réunion était surréaliste... Les Asasas papotaient entre eux. Aucun n'adressait la parole au fondateur de ce club (pour des raisons d'yeux kibrilles, parce que les yeux de ce papy pétillaient d'esprit). A l'exception des laudations de début et en fin de réunion, ce papy fut tenus dans l'isolement presque complet, au point que s'en était gênant. Par exemple, lors du repas, il posa à son entourage la question existentielle suivante: "Pourriez-vous me passer le sel s.v.p.". Pour toute réponse, les Asasas autour de lui se mirent à scruter le plafond.

Ensuite ce papy n'assista plus aux réunions du Club qu'il avait fondé.